Le projet Inkingi Z’amahoro Mw’Iterambere, d’un montant de 2 millions euros, vise 1.500 jeunes déscolarisés et non scolarisés (dont 50% des femmes) à risque de marginalisation socioéconomique, voire radicalisation, dont l’âge se situe entre 16 et 24 ans. Cette action contribue au développement socio-économique inclusif des jeunes, notamment à travers le renforcement des connaissances et des compétences techniques et la promotion de la cohésion sociale dans les zones urbaines et péri-urbaines de Bujumbura, Gitega et Kirundo. L’action, mise en œuvre par un consortium de six organisations (dont trois locales et trois internationales), bénéficie indirectement les communautés locales, les organisations de la société civile, les artisans, les entreprises et leurs organisations (chambre de commerce sectorielle), les centres de formation, etc.